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 I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black

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Sweet little SUNSHINE ♥ & adminette tyrannique x)
McKey C. Sullivan
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MessageSujet: I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black   I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black Icon_minitimeMer 11 Mai - 22:16

Le premier match contre les Serdaigles, McKey était tellement excitée qu’elle n’en dormait plus. Enfin elle allait pouvoir se remettre à faire ce qu’elle aimait le plus : c'est-à-dire faire des buts pour son équipe et entendre les gens de sa maison l’applaudir. Disons que dans ses amis peu de gens comprenait son amour pour le Quidditch, Lily disait que c’était le sport le plus débile du monde juste parce que ça se jouait sur des balais, Parker n’y allait que pour admirer les beaux garçons, Narcissa faisait semblant de s’y intéresser et Kennedy préférait un bon livre au sport. Par chance, son petit ami et son meilleur ami était eux aussi des mordus de Quidditch … combien de fois James avait-il jouer au gardien de but face à elle. Quant à son petit ami, on parle du capitaine qui avait tellement peur que sa poursuiveuse vedette se blesse qu’il lui avait presque engagé une brigade de sécurité pour être sûre qu’elle ne se blesse pas. Bien sûr, son plan n’avait pas marché, car le rayon de soleil frustrée et vexée ne l’avait pas trouvé drôle du tout et avait menacé « ses soi disant garde du corps » de leur en coller une si ils ne déguerpissaient pas.

Boitant, la jolie blondinette avait un beau gros bleu à la figure. Amos l’avait pris dans ses bras pour soi disant l’empêcher de trop forcer sa jambe pour empire sa blessure. Il ne voulait pas surtout perdre une de ses meilleures joueuses. Comment elle en était arrivée là ? Un de leurs super nouveaux batteurs qui ne savait pas trop bien viser avait envoyer en plein sur McKey. Et cette dernière l’avait mangé de plein fouet dans la figure, par chance elle avait le réflexe de dévier sa trajectoire avant l’impact, mais son œil droit y avait goûté quand même. Par la suite, affectée par le choc, la poursuiveuse avait faite une chute d’assez haute altitude et qui aurait pu avoir de sévères conséquences si Amos ne l’aurait pas rattrapé à temps. L’excuse du batteur, il était aveuglé par le soleil ! Le soleil, mon œil. Les sélections n’avaient pas été très bonnes cette année, mais bon on fait avec ce qu’on a non ? Leur équipe était relativement bonne, peut-être pas à la hauteur de celle des Gryffondor, mais quand même. Certains leur prédisait même la coupe et Amos, étant que septième année, faisait tout pour leur noms soient gravés dessus cette année. Entraînement régulier et intensif, engueulade, réunion privée, entraînement privé … tout était de mise pour que ce soit leurs années. Amos en faisait un peu trop par contre … À la fin de l’année, les choses se retourneraient peut-être contre lui et les joueurs feraient une rébellion

Baillant, la préfète n’avait qu’un seul souhait : qu’elle ne se soit pas fait une blessure grave comme un os à ressouder ou encore à faire repousser. Une simple entorse ferait l’affaire. Si elle était blessée gravement, cela voulait dire qu’elle allait manquer le match et Amos ne lui pardonnerait jamais. Dieu sait de quoi il serait capable, ce gars-là était tellement déterminé à vouloir gagner qu’il l’aurait peut-être même fait jouer blessée. Quoi qu’étant son petit ami en même temps que son capitaine, peut-être aurait-il été plus compatissant et empathique envers elle.

Juste avant de franchir la porte de l’infirmerie, la blonde se débattit pour qu’il la lâche et qu’il la pose au sol. Il était rendu tard … un peu de sommeil ne lui ferait que du bien et puis elle n’était pas mourante non ? La jeune fille approcha son visage tendrement du sien, assez proche pour pouvoir sentir sa respiration et son haleine qui sentait la menthe, et elle posa un chaste baiser à la commissure de ses lèvres. Un baiser pour le remercier d’avoir été là pour elle et le fait qu’il aurait prêt à la veiller toute la nuit … mais aussi pour le persuader qu’elle allait bien.

« Bonne nuit Amos ! Je t’aime … » dit-elle en rigolant face au baiser soufflé qu’il lui avait envoyé en s’en allant en direction vers les dortoirs.

Sautillant sur une jambe, car elle n’arrivait pas à mettre du poids sur sa jambe droite, celle qui avait amorti en quelque sorte le choc… c’est avec peine et misère qu’elle réussit à passer les portes de l’infirmerie. L’infirmerie était aussi vide que Poudlard dans le temps de Noël, une mouche aurait pu voler et on l’aurait entendu. Madame Pomfresh et son assistante, étant absente temporairement, la sixième année décida de se laisser tomber dans le lit le plus proche. La douleur était insupportable, les infirmières viendraient la voir plus tard. Ce qu’elle n’avait pas prévue, c’est qu’une jambe se trouvait dans le lit. Une jambe ! Cela eut un effet de choc sur McKey qui se releva à la vitesse de l’éclair, sans même réaliser qu’elle aurait un mal de fou quelques secondes auparavant.

La blonde regarda attentivement la personne qui se trouvait dans le lit, mais celui semblait tellement ensanglé qu’elle mit du temps à réaliser l’identité du blessé. Non, mais ces yeux me rappellent quelque chose se dit la préfète. Regulus, oh mon dieu ! Paniquée face à l’état de son ami, enfin ancien ami, McKey en oublia qu’il ne se parlait depuis des lustres et qu’ils s’évitaient dans les couloirs de nos jours. Tout ça juste parce que l’année dernière, elle s’était liée d’amitié avec les Maraudeurs, dont son frère aîné Sirius Black.

La Poufsouffle fit la chose la plus logique, elle s’accroupi sur le lit voisin et lui prit la main. Un geste tout simple qui ne voulait rien dire pour plusieurs, mais McKey se rappela que lors de sa troisième année lorsqu’elle avait choppée la fièvre, Regulus et Narcissa l’avait veillée durant trois jours consécutifs et Regulus lui avait tenu la main pour essayer de réconforter la petite McKey Sullivan qui était sûre de signer son arrête de mort. De toute façon, il ne pourrait pas se plaindre pour le moment, puisque sa respiration indiquait qu’il était parti dans le royaume des rêves présentement.

[ Dernier rp avant mon départ, kyaaa ♥ ]
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James C. Potter
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MessageSujet: Re: I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black   I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black Icon_minitimeLun 16 Mai - 5:57

Est-ce que le monde avait cessé de tourner? Étais-je en enfer ou au paradis? En tout cas, ce qui était bien, c'était que j'étais dans un endroit où je n'avais plus à me poser de questions, ni à faire des choix. C'est pour ça que j'étais bien. Plus de pression, plus rien. Finalement j'avais fait le bon choix en me suicidant. Et plus personne ne pourrait me le reprocher. Et alors, maintenant que pourrais-je faire? J'en savais rien, puisque je n'avais rien à faire. Et soudain, j'entendis : "Regulus, Regulus réveille-toi!" Et je me réveillais alors en sursaut, non sans souffrir. Et soudain, je regardais alors autour de moi. J'étais à l'infirmerie. J'avais donc raté. Non, ce n'était pas possible, ce cauchemar n'allait donc jamais finir. Je me mordis les lèvres et je me retins de pleurer. Ce n'était donc pas possible? Pourquoi fallait-il qu'on m'empêche de faire ce que je voulais? Je ne comprenais pas. J'en voulais à mon frère, car je savais bien que ça ne pouvait être que lui qui m'avait amené ici. Pourquoi il ne m'avait pas laissé mourir? Il se serait débarrassé de moi, de mes problèmes et d'une charge que j'étais pour lui. J'avais pas envie qu'il me voit comme quelqu'un de malade. J'étais juste mal. Mais maintenant, il devait me voir comme quelqu'un qui était complètement jeté et en plus, pour avoir tenté de me suicidé, il devait me considérer comme quelqu'un de dangereux. Enfin bref, dans tous les cas, j'étais coupable. Coupable d'avoir tenté de me supprimer dans le seul but de débarrasser mon frère de moi. Mais ce n'avait pas été possible. J'ouvris alors les yeux de nouveau. L'infirmerie était vie, alors j'en profitais pour dormir un peu. Je ne savais pas combien de temps s'était écoulé et soudain, je me réveillais en sursaut. Et soudain, je sentis quelque chose sur ma main. Je regardais alors et je vis une autre main. Je regardais à qui elle appartenait. Et soudain, je vis Key. Comment était-ce possible? Elle me détestait. Je me relevais, non sans grimacer, et je la regardais, sans rien dire. Je ne sais pas si j'étais un peu encore dans le brouillard ou pas. Je ne saurais pas dire. Je n'avais rien envie de faire, et encore moins lui parler. Pour dire quoi, de toute façon? J'avais pas envie qu'elle me demande pourquoi j'étais là et surtout qu'est-ce qu'il m'était arrivé. Ça ne la regardait pas. A moins qu'elle n'était déjà au courant, parce que Sirius aurait tout dit à quelqu'un. Et si c'était pour me caser dans la case, malade mental, alors il ne valait mieux pas qu'elle me parle. Non, il ne valait mieux pas. Et moi, que pourrais-je lui dire? Je voudrais bien le savoir. "Salut Key, ça va?" Rien que ces quelques mots me paraissait stupides bien avant même de les avoir prononcé. Non, il n'y avait rien à faire. Je cherchais Sirius du regard. Il n'était pas là. Il était parti, comme cet été. Il m'avait encore abandonné. Peut être que finalement, il en avait plus rien à faire de moi. Peut être qu'il s'était dit que finalement, il valait mieux que je reste loin de lui. Qu'il reprenne sa vie d'insouciance avec Potter. Et que j'étais capable de m'en sortir tout seul.

J'avais pas envie de le détester mais en même temps, je lui en voulais. Alors que je savais pertinemment que c'était lui qui devait m'en vouloir parce que j'avais voulu me tuer devant lui. C'était complètement faux. Tout était complètement faux. Ce monde était tombé bien bas. Et moi avec. J'avais vraiment envie de rien. Et là, j'avais envie de partir d'ici. Et je savais que j'allais le faire. Si on m'empêchait de me tuer, au moins, on ne m'empêcherait pas de m'enfuir. Je partirais loin, très loin et j'irais me chercher un nouvelle famille, beaucoup plus aimante que celle là. C'était mon rêve. Avoir une famille qui m'aime pour ce que je suis et non pour ce que je devais jouer en rôle en permanence. Une famille idéale, avec mon grand frère. Des fois, je me faisais peur moi-même, j'avais l'impression que j'étais un enfant de quatre ans, dans mes idées. Mais tant pis. Peut être que j'avais besoin de jouer l'enfant. Parce que même en cherchant dans mes souvenirs les plus lointains, je n'arrivais pas à trouver un semblant d'enfance. J'étais peut être finalement complètement dingue. Ou peut être pas. Mais peu importe. Peut être que j'avais besoin d'amour, de soutien, de parents aimants mais j'avais rien de tout ça. A part mon frère et ma cousine Narcissa. Mais je ne pouvais vivre avec eux. Non, je ne le pouvais pas. J'étais une charge trop lourde pour eux. Mais personne ne pourrait m'aider. J'essayais alors de me lever, mais ça me tirait de partout. Je me relevais, et réussi à m'asseoir. Je voulais partir . Mais Key me regardait étrangement. Comme si j'étais fou. Mais oui, je l'étais. Je m'en fichais. Je la regardais et je lançais un vague:


Salut...

Puis je commençais à vouloir partir. Mais d'une part, je souffrais de partout, et d'autre part, j'avais l'impression d'être attaché. Non mais c'est pas vrai! Je commençais à m'exciter furieusement pour essayer de voir ce qu'il me retenait. Et je marmonnais:

Je veux partir... mais pourquoi j'ai cette impression d'être attaché?

Non mais, je commençais sérieusement à me poser des questions. Me prenaient ils vraiment pour fou? A croire que oui. Je regardais Key une nouvelle fois. Et cette fois ci je m'adressais à elle en lui demandant:

Key.. aide-moi, avant de me prendre pour un fou... regarde et dis moi si je suis attaché! A moins que je ne l'invente... et dans ce cas, je me poserais des questions sérieuses sur moi...
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MessageSujet: Re: I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black   I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black Icon_minitimeMer 18 Mai - 19:57

Madame Pomfresh étant absente temporairement, c’est son assistante qui vint s’occuper de la blonde. Un os à ressouder selon elle, aoutch … si elle en croyait ses précédentes visites à l’infirmerie, McKey en aurait pour une semaine à marcher avec des béquilles et encore là on ne parle pas de quand elle pourrait recommencer à s’entraîner. Amos allait la tuer, c’était assuré. Mais bon, sa santé passait avant tout non ? Amos pourrait bien comprendre, de toute façon d’après ses calculs elle allait pouvoir être d’office pour le match contre les Serdaigles. Anyway, n’était-elle pas meilleure que la majorité des poursuiveurs de l’école ? Elle n’allait pas pedre tout son talent en l’espace d’une semaine ou deux n’est-ce pas ? Faisant la grimace, la blonde était sur le point de prier pour que Madame Pomfresh se dépêche de finir son repas pour venir la soigner. Supposément, que Cassandra voulait attendre l’avis d’une vraie infirmière avant de lui faire prendre les remèdes nécessaires. Pfff … satané Pomfresh! Savait-elle à quel point s’était douloureux d’avoir une jambe hors circuit ?

L’attente étant trop longue, McKey sur le point de s’assoupir et de faire un petit somme, mais ce dernier commença à remuer … on dirait qu’il avait le sommeil agité. Effrayée, la jolie Poufsouffle s’en allait pour reculer puisqu’il lui faisait peur, mais elle décida plutôt d’essayer de le tirer hors du monde des rêves.

« Regulus, Regulus réveille-toi »

La jolie blondinette avait beau le détester plus que tout, enfin selon ses dires, mais Regulus restait quand même une personne qui avait une place assez importante dans sa vie et dans un sens, même si elle ne voulait pas l’avouer. Il lui manquait. Regulus et elle avait été de très bons amis par le passé, merci Narcissa ! Combien de fois avaient-ils passé des soirées à rigoler et se raconter des histoires ou encore jouer au Quidditch dans le cas de la Poufsouffle et de Regulus ? Même si au grand malheur de ‘Cissy, jamais des sentiments amoureux ne s’étaient installés entre son cousin et sa meilleure amie, Regulus avait eu auparavant une place de choix dans le cœur du rayon de soleil des Poufsouffles … il avait été un très bon ami, voir même un de ses meilleurs amis. Mais bien sûr, tout s’était gâché l’année dernière… lorsqu’elle avait commencé à traîner avec James et en l’occurrence les Maraudeurs. Trahi, Regulus avait eu l’impression que James et les Maraudeurs prenaient sa place et qu’elle l’abandonnait pour eux. Non, mais quel idiot! C’était lui qui l’avait abandonné en réalité. Jamais elle n’avait voulu faire un choix entre Regulus et les Maraudeurs et selon la cadette des Sullivan, la fraternité entre maisons n’est pas impossible. À un moment, elle avait même espérée son amitié avec les Maraudeurs ferait en sorte que Sirius et Regulus pourraient renouer et devenir aussi proche qu’auparavant, mais elle s’était royalement trompée. Faut croire que McKey est trop optimiste par moment. Quand elle le voyait arrangé comme ça sur le lit de l’infirmerie, McKey ne pouvait s’empêcher d’éprouver de la compassion pour lui et de laisser tous leurs différents de coté pour un moment. Peut-être même serait-ce l’occasion de se réconcilier … Ils avaient vieillis depuis l’an dernier. Tant elle avait par rapport à tout ce qui s’était passé entre eux.

« Salut! » dit-elle en réalisant qu’elle avait toujours ses doigts enlacés aux siens. Comme une petite fille qui venait de se prendre la main dans le sac par ses parents, McKey l’ôta rapidement comme si elle avait quelque choie de mal. C’est après qu’elle se rendit compte qu’elle avait eu l’air plus idiote que d’autre chose.

« Désolé … l’habitude faut croire! Heum … Ca va bien ? »

L’air mal à l’aise et se mordant la lèvre, McKey savait que la question était stupide, mais que d’autres pouvait-elle dire ? Disons qu’elle aurait fait une folle d’elle si elle se serait écrié "Salut mon pote ! Est-ce qu’on se fait une partie de bataille explosive (le jeu de carte sorcier) pendant l’absence de l’autorité ? " Déjà qu’elle ne savait pas comment agir comme lui. Bah oui, comment agir face à une personne dont on avait été si proche et à qui on ne dit même plus bonjour ? En partant, les circonstances dans lesquels ils se retrouvaient étaient assez étranges. La préfète qui n’était plus capable de se tenir debout et qui avait un joli bleu en plein dans la figure, on aurait quasiment dit que son petit ami la battait. Regulus qui était méconnaissable, tant il y avait de blessures sur son corps, avait-il été victime d’une attaque de la petite bande de Serpentards qui se proclamait comme supérieur à eux et futurs fidèles de Tu-sais-qui. Pathétique ! Essayant de se relever, ce dernier réalisa qu’il était comme pris et s’aperçut des cordes qu’avait mises les infirmières pour l’empêcher de se sauver, la personne qui l’avait amené avait supposément signalé qu’il tenterait sûrement de fuguer. Voyant la douleur dans le visage de Regulus et tant de frustration dans son esprit, McKey haussa les sourcils et normalement elle aurait peur, mais c’était Regulus. Jamais il ne lui ferait de mal, il lui avait promis lorsqu’ils étaient très jeunes, en première année sûrement. Oui il l’avait déjà brisé cette promesse, mais disons que McKey savait qu’il ne lui ferait jamais de mal … du moins physiquement

« Hey doucement tu vas te faire encore plus mal ! L’infirmière m’a dit qu’elle t’avait attaché par mesure de précaution. Attends je vais te sortir de là. » La sixième année s’approcha de lui et essaya défaire les cordes, trouvant que ligoter quelqu’un est une attitude lâche et contre les droits de l’homme qu’est la liberté. Mais le résultat escompté ne fut celui espéré, puisque les cordes devaient être ensorcelées de façon à ce que personne ne puisse le détacher.

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MessageSujet: Re: I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black   I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black Icon_minitimeSam 28 Mai - 9:50

Je fronçais les sourcils, complètement abasourdi. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je regardais Key d'un air surpris. Depuis quand elle me reparlait celle là? Je murmurais doucement:

"It's a nightmare... I will wake up and I will not be here... I hate him... I hate him!! Why did he save me? Why?"

J'étais vraiment énervé. Il n'avait pas le droit de me sauver alors que je voulais mourir et en plus, il m'abandonnait par derrière. Non vraiment, il n'avait pas fait le bon choix. Car je savais pertinemment que j'allais recommencer. Je laissais tomber les liens qui m'attachaient. Je me demandais bien ce qu'il leur avait raconté pour me traiter pire qu'un chien. J'allais lui faire voir. Ils allaient tous voir. Je préférais ne pas m'occuper de Key car je savais qu'elle allait en prendre plein la tête elle aussi. Donc, non, ce n'était pas la peine. Mais d'un autre côté je voulais savoir pourquoi elle m'avait fait ça. Je la regardais donc et soudain je lançais:


I need to know... Why you didnt talk to me since a long time... And you act like if nothing happened... It's confusing.. really...

Oui ça me rendait confus. Comme si quelqu'un était rentré dans ma tête et avait tout mélangé. Le passé, le présent tout se mélangeait et ça me rendait fou. Je savais que le cauchemar ne faisait que commencer. Et ainsi était faite la vie. Y avait ceux qui avaient de la chance, d'avoir une famille normale et aimante et y avait les autres. Dont moi. Je n'avais personne qui ne m'aimait vraiment pour ce que j'étais. Il n'y avait rien à faire, juste à laisser couler; De toute façon, j'allais partir alors qu'est-ce que je m'en foutais. Ils pouvaient tous très bien me détester, ça m'était complètement égal. Et après, qu'est-ce que j'allais faire? Quand je partirais, j'irais me cacher dans un endroit et je m'entraînerais à tuer Voldemort. Je savais qu'il n'était aussi invincible qui ne le prétendrait et je savais que je n'aurais aucun mal à le tuer. Il croyait qu'en lui même et il ne se douterait pas que le fils d'un de ses mangemorts irait le détruire. Oui, j'avais cette idée en tête depuis peu mais je savais que je la mettrais en pratique. Je le détruirais et je prendrais sa place. Il me fallait juste du temps. Et le temps j'allais en prendre. Et ce n'était pas à l'école que je pourrais apprendre à le battre. Je fixais Key, sans rien laisser entrevoir sur ce que je pensais. Je me souvenais du temps où on était encore amis et où j'avais encore des sentiments pour elle. J'avais été bien bête d'avoir tombé amoureux d'elle. Surtout qu'après, elle était tombé dans les bras de cet abruti de Diggory. Lui aussi, j'avais bien de lui exploser sa tête. Aussi arrogant et prétentieux que Potter. Mais comment l'école pouvait laisser étudier des gens comme eux ici? Je savais ce que je devais faire. Encore jouer un rôle. Lui dire que finalement, je n'avais plus envie de lui parler pour ne pas faiblir. Mais j'étais déjà tellement faible que je n'étais pas sûr que je pourrais y arriver. Je regardais mes mains et je tirais fort, très fort. Je ne savais même pas d'où me venait cette force et les liens se détachèrent enfin. Je frottais mes poignets endoloris à force d'avoir été attaché et je me promis que je me vengerais de celui ou celle qui m'avait attaché. Comme si, alors que j'étais encore inconscient il n'y avait pas cinq minutes, j'allais m'enfuir. En plus, si je le voulais, je pouvais très bien me pendre avec mes liens. J'éprouvais tellement de colère, que j'avais l'impression de devenir un nouveau Black en puissance, chose que je ne voulais pas être. J'essayais de me fermer à tout sentiment mais c'était impossible. Alors je fixais ailleurs et j'ajoutais:

I'm lost... I just loose myself in this damned world! And I can't get it... I can't!


On aurait presque dit un mangemort qui parlait. Mais non, je ne le voulais pas. Parce que tout simplement que la moitié des Black en étaient et que même les futurs membres de la famille en étaient. Sauf moi. Oh c'était sûr que moi, Regulus Arcturus Black, j'en ferais jamais parti. Je serais juste celui qui les détruirait tous. Je regardais autour de moi, à moitié en colère mais d'un autre côté, je me sentais terriblement égoïste de m'en prendre à elle, alors que c'était moi qui était parti. Je m'en souvenais encore de ce jour quand je l'avais vu avec les maraudeurs. Je l'avais vu rire avec mon frère alors que moi je faisais tout pour me rapprocher de lui mais c'était comme si je n'avais jamais existé. Voilà pourquoi je lui en avait voulu. Parce qu'elle avait réussi là où moi j'avais échoué. Et peut être parce que aussi, elle s'intéressait qu'à l'autre bellâtre de Diggory. Et puis de toute façon, maintenant j'avais June même si je savais que ça n'allait pas durer. Elle n'allait pas rester avec un fou comme moi. Elle devait surement savoir que j'avais parlé avec Sirius et que je pétais un câble à chaque détour de couloir sans même savoir pourquoi. Oh bien sûr que oui, elle ne devait pas rester avec un type comme moi, j'étais trop dangereux. Il fallait absolument que je lui parle. Avant mon départ? Non je n'oserais jamais l'affronter. Je me re-concentrais sur Key. Sans rien dire, je n'avais pas arrêter de la fixer. Ce n'était pas le meilleur moment pour qu'on se parle mais il fallait qu'on mette tout à plat avant mon départ. Comme ça, j'aurais moins de choses à penser. Déjà, je savais que la première question qu'elle allait me poser, ça allait être pourquoi j'avais réagis comme ça. J'allais lui répondre quoi? Que j'avais été jaloux d'elle? Non, je n'allais pas pouvoir le faire. J'étais encore trop faible mentalement. Allais-je encore éclater en sanglot? Là, je ne promettais rien. "Tu n'es qu'un imbécile" se moqua une voix. Je regardais alors autour de moi. Il n'y avait personne, juste elle et moi. Alors qui avait parlé? Ce n'était pas elle et ce n'était pas moi. Si je commençais à entendre des voix, alors il n'y avait plus rien à faire pour moi. Car entendre des voix ne présageait rien de bon.
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MessageSujet: Re: I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black   I'm in pieces, baby fix me ♪♪ || Feat Regulus Black Icon_minitimeDim 19 Juin - 0:22

Toujours un » peu somnolente, car elle étai très fatiguée, ses yeux commençant à fermer doucement … quand Regulus attira son attention. Hé bien, depuis quand se résignait-il à lui parler. Supposément d’après ce que Narcissa lui avait rapporté, Regulus éprouvait une telle amertume qu’il mit toutes leurs anciennes photos au grenier. Comme si la Poufsouffle n’avait jamais fait partie de sa vie. Disons que même si elle avait de son mieux pour ne pas que ça paraisse, McKey avait été blessée. Elle s’en voulait de tenir encore à lui, alors que le Serpentard de son coté avait l’air de se balancer carrément d’elle ou peut-être avait-il changé complètement comme ce que Sirius lui avait dit. La première chose qui lui vient en tête lorsqu’elle l’entendit parler était : de quoi jase-t-il ? La pauvre Poufsouffle ne comprenait pas un mot à ce qu’il disait, tellement elle était confuse et ses mots n’avaient ni queue ni tête. McKey se recula de peur que ses blessures l’aient affectés un peu au niveau de son mental. Bon d’accord, elle se doutait qu’il n’était sûrement pas venu ici par lui-même, mais quoi quelqu’un l’avait retrouvé à moitié mort au bord du lac et l’avait sauvé ? Elle voudrait bien l’aider, mais si elle n’avait pas plus de détails, c’était peine parti.

« Sorry … I would like to help you but I have no clues. I don’t even understand what you’re talking about. »

Le visage de Regulus baignait dans tant de haines et de fureur que McKey avait juste envie de changer de lit et de s’en aller plus, mais elle se rappela d’une promesse qu’ils s’étaient faite avec ‘Cissy lors de leur deuxième année, ils seraient amis pour la vie et jamais ils ne se laisseraient tomber. Étant une Poufsouffle, ce qui était étonnant étant donné son caractère impulsif, fort et courageux comme celui des Gryffondors, c’était sa loyauté qui avait penché la balance au final et faisait que McKey était un blaireau et non pas une lionne. De toute façon, jamais elle ne regretta le choix de la maison dans laquelle elle avait été répartie. Sans ça jamais elle n’aurait connu Parker et probablement que son amitié avec Narcissa s’aurait détérioré depuis longtemps. Être poufsouffle, c’était avoir le meilleur de deux mondes. Et puis, Regulus ne lui ferait aucun mal, elle en était assurée. Il ne pouvait pas avoir changé à ce point-là … McKey n’arriverait juste pas à y croire dans le cas contraire.

« Because you need me and I still remember our promise. We were friends , best friends ….»

Loyale comme elle était, ce n’était pas le genre de la blonde de faillir à ses promesses. Elle était un homme, bah une femme en vrai, de parole … une vraie. Surtout qu’elle avait entendu parler de Regulus dernièrement et supposé qu’il n’allait pas très fort ces temps-ci. La seule fois où elle avait essayé d’en parler avec sa sœur de cœur, Narcissa, cette dernière avait dévié le sujet sous prétexte que ce n’était pas le moment d’en parler. Et puis, Regulus et elle n’avait pratiquement aucun autre ami commun. Comment vouliez-vous qu’elle aille de ses nouvelles ? Quand même, la jeune fille n’était pas tombée sur la tête au point de demander à Regulus « Hey Regulus, il paraît que ça va pas bien dans ta vie en ce moment. Viens tout raconter à ton ancienne meilleure devenue la personne que tu fuis le plus possible. » Terriblement déplacé.

Se croisant les doigts, McKey espérait mentalement que la situation dans laquelle étrange dans laquelle ils se trouvaient, Bah oui, n’est-ce pas étrange de voir une fille avec bleu dans le visage qui semble être battu en compagnie d’un garçon qui avait l’air d’avoir combattu un mangemort tant il était ensanglé…, les pousserait à une quelconque réconciliation. Les choses ne seraient jamais comme avant, ça elle le savait, mais au moins elles pourraient s’améliorer vers le mieux.

« No matters what is happening in your life, I’ll always be there for you even we’re not that close like before. »

Si bavarde elle était d’habitude que ses proches la surnommait le moulin à paroles. Jamais on n’arrivait à la faire taire. McKey était le genre de filles qui alimentait très bien une conversation et qui parlait plus qu’elle écoutait. Par contre, une excellente confidente elle était. Parlez-en à Parker, Narcissa ou encore Severus Rogue. Mais en ce moment, elle avait tant de choses à lui dire qu’elle ne savait par où commencer. La préfète voulait lui dire qu’elle était désolé de l’avoir en quelque chose « injustement abandonné » selon ses dires, désolé de ne jamais avoir essayé de renouer leur amitié, désolé de l’éviter à l’école et de ne plus lui adresser la parole et surtout désolé de ne pas avoir été là dans des moments comme ceux-ci, mais bon comme le dit le dicton, mieux vaut tard que jamais non ?

« I’m sorry for everything. »

Le silence pesait dans la pièce. Ni l’un ni l’autre ne voulait prendre les devants et oser s’exprimer. On aurait deux personnes qui communiquaient par la pensée, vous savez la télépathie. De son coté, McKey sentait qu’elle en avait assez fait, elle avait ouvert assez de portes à Regulus, à lui de voir s’il voulait saisir les opportunités. Dans une relation d'amitié ou de couple, le rayon de soleil avait toujours eu comme philosophie qu'un deux doit construire la moitié du pont et que l'autre doit faire même pour que les moitiés viennent se rejoindre. En gros, les deux doivent faire des efforts, sinon s'il y en a juste qui fait les efforts en double, disons que leur amitié ou leur relation amoureuse ne fera pas long feu.


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